Des créateurs d’entreprise, déjà en activité (même si vous êtes à J+1, peu importe) qui souhaitent progresser dans leurs pratiques professionnelles tout en optimisant les chances de réussite de leur projet.

Des chefs d’entreprises qui ont déjà pu montrer leur capacités entrepreunariale, mais qui souhaitent avoir des éclairsissement sur leur stratégie(s), ont besoin ou envie d’avoir des réponses à leur questionnement.

Des chefs et dirigeants de société confirmés, désireux de transmettre leur expérience, leur savoir-faire et leur savoir-être à des créateurs ou des repreneurs d’entreprise.

Attention : si le mentorat peut s’apparenter au coaching, le mentor n’est ni un coach, ni un consultant. Il ne s’agit pas d’une aide ponctuelle et ciblée sur des résultats à atteindre, mais bien d’un accompagnement sur le long terme.

En véritable soutien, le mentor répond aux interrogations de son mentoré tout en l’orientant vers des solutions entrepreneuriales qu’il a lui-même éprouvées. En revanche, il ne lui fournit pas de plan d’action pré-formaté, ni ne lui indique la « bonne » solution : il l’accompagne dans sa prise de décision, pour qu’elle puisse finalement se transformer en réflexe chez le mentoré.

Le mentor n’est pas non plus un professeur au sens strict : il ne dispense pas de cours sur la gestion d’entreprise, la comptabilité ou les ressources humaines. Il conseille son mentoré en fonction de sa propre expérience, et les enseignements qu’il transmet ne sont pas théoriques, mais bien pratiques.

Par ailleurs, le mentorat ne saurait se résumer à une forme de networking : il ne consiste pas seulement à créer des liens entre chefs d’entreprise, mais à garantir la transmission de savoirs, d’expériences et de bonnes pratiques.